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Gims, l'artiste aux 6 millions d'albums vendus, surprend une fois de plus avec une nouvelle édition de son 4e album solo Le fléau. Le duo incontournable,Prends ma main, avec Vitaa, bénéficie d'un démarrage radio explosif ! 3 titres inédits sont à découvrir au sein de cette édition dont un duo avec Naps.

Donnés en concert à La maison de Radio France en avril 2016 et présentés dans ce double album Erato : L'enfant prodigue d'un Debussy de 21 ans, sur le thème biblique du fils prodigue, fut honoré par un Prix de Rome puis L'enfant et les sortilèges de Ravel, sur un texte de Colette, met en scène un enfant avec des objets et des animaux qu'il malmène et qui soudain s'animent et deviennent des personnages, faisant prendre conscience à l'enfant de ses erreurs. Ces deux oeuvres sont interprétées par un casting de prestige : Roberto Alagna en Azaël du Fils prodigue, Karina Gauvin dans celui de sa mère Lia, et pour Ravel Sabine Devieilhe dans le feu, la princesse, et le rossignol, Nathalie Stutzmann en Maman, tasse chinoise et libellule. L'Orchestre Philharmonique de Radio France est emmené par son chef finlandais Mikko Franck.

Après quatre albums solos et de nombreuses collaborations (The Nino's chantent Ferrer : 200 concerts entre 2009 et 2012 notamment sur les scènes jeune public), Poisson nous fait plaisir en explorant de nouveaux modes d'expressions. Avec cet album, il crée une passerelle entre l'écriture, la comédie, la chanson, la mise en scène, la musique live, la vidéo et le bricolage.

Hope, Josh et Luke sont d'inséparables étudiants en neurosciences. Ensemble, ils ont élaboré un extraordinaire projet sur le phénomène de la conscience qu'ils décident de mettre en oeuvre quand l'un d'eux vit une expérience de mort imminente.

Accablé par un chagrin d'amour, le bouc Cornebique quitte son village et s'en va par les chemins, le coeur gros et le banjo en bandoulière. En chemin, une cigogne lui confie Pié, un petit loir qu'il protégera contre vents et marées.

À la fois chanteuse et danseuse, Toto est en Colombie une artiste adulée et les rythmes qu'elle défend sont d'une modernité saisissante. Son répertoire égraine de multiples rythmes : la cumbia, le bullerenge, la chalupa, le garabato et le mapal, mais également du son cubain ainsi que de la guaracha, de la rumba et du bolero qui sont arrivés en Colombie par le village de San Basilio de Palenque.

Une histoire inspirée d'une chanson de l'auteur-compositeur de musique pour enfants : la chambre d'Aldebert est un tel capharnaüm qu'il doit se lancer dans une véritable expédition pour retrouver ses jouets. Avec un CD audio comprenant la version lue de l'histoire, suivie de la chanson. ­Electre 2018

L'artiste confie en souriant, avoir pris ô combien du plaisir à l'écrire et le composer. On le croit. L'album est un concentré de gourmandises. On y retrouve une plume accomplie, des textes ciselés, pop'isés de soleil. On y découvre une voix affranchie de son air juvénile, maîtrisée de plus belle, ce timbre qui s'amuse et louvoie d'octave en octave. Il lui en a fallu des heures de scènes depuis Mélancolie heureuse (2017), pour oser jouer d'elle, jusque dans les arrangements. Il lui en a fallu du travail pour flirter les refrains avec légèreté. Dans son disque précédent, l'artiste interrogeait en mineur l'avenir de la planète, le poids du temps et le sens de la transmission. Ce nouvel opus est né pendant notre premier confinement, entre les fruits naissants du vignoble, le soleil généreux du printemps et l'immobilité suggérée. Si Tim écrit, compose, arrange et produit ses chansons, il n'est pas seul. Il aime s'entourer et mettre au jour le talent des autres. La course folle est une aventure collective. Un troisième disque de haut vol qui raconte La légèreté précieuse et nous déploie du Soleil vers Les cinquantièmes hurlants.

Déjà 6 ans qu'il n'avait pas sorti d'album solo. Depuis son deuxième opus événement Le chant des sirènes (double disque de platine) sorti en 2011, le rappeur touche-à-tout a été plus qu'occupé : deux albums supplémentaires au compteur (certifiés disque de platine) avec son groupe Les Casseurs Flowteurs (en duo avec Gringe) dont la bande originale de son film, Comment c'est loin. Car Orelsan a aussi pas mal squatté les écrans, le grand comme le petit, avec son film mais aussi avec la série Bloqués, diffusée en 2015 et 2016 sur Canal+. Toujours aussi audacieux, ses textes souvent incisifs et décalés sont uniques dans le paysage français et en font la voix d'une génération.

Album recherché, rare et quasiment introuvable aujourd'hui, La Grande Sophie s'agrandit est le premier album de l'artiste. 25 ans après, anniversaire symbolique, l'artiste réédite son premier succès dans un packaging plus moderne : le digipack. Cet album, ce sont les premiers pas dans un studio de cette jeune artiste. Venue de la scène, le challenge est nouveau : enregistrer des titres sur un support, les figer à jamais, une pression conséquente, elle qui ne connait que l'instantanéité du live.

Première bande originale de livre de l'histoire du groupe, La mécanique du coeur fait figure de 'Soldat rock', où les Dionysos invitent le haut du panier chanson-rock-ciné-pop-classe d'ici à rentrer dans leur univers. Chacun y joue un rôle et contribue à mettre le roman en musique : Arthur H, Emily Loiseau, Grand Corps Malade, Alain Bashung, Jean Rochefort, Éric Cantona, Rossy De Palma, Olivia Ruiz... oeuvre hybride, meilleure production du groupe à cette date. Portés par une musique évoquant le rap blanc de Buck 65 ou de The Streets, et par des arrangements dignes de Sufjans Stevens ou de Burt Bacharach, les personnages seront habillés par Joann Sfar.

Les chansons de ce célèbre égérie du folk canadien des années 50 à 70, sont ici reprises avec beaucoup de brio par la jeune scène québécoise. On y apprend de façon ludique, à travers ces textes empreints de fantaisie, les chiffres, les lettres, les animaux ou encore les instruments de musique !