Alors qu'une crise financière sans précédent ravage l'économie des pays industrialisés, que les chômeurs et les petits porteurs ruinés se comptent par millions, une valeur financière, une seule, semble résister : l'être humain. L'introduction en bourse n'est donc plus le seul privilège de personnes morales, c'est aussi une réalité pour des personnes physiques ; elles perçoivent un capital, portent au poignet une « rate watch » indiquant leur cote et répondent à leurs actionnaires dans leurs assemblées générales.