"Luce Buchheit a sans doute pleuré. De ces larmes de fond qui échouent sur la grève, elle peut rapporter " l'espoir, celui qui n'est jamais vain".
Après nous avoir envoûtés avec sa prose bouleversante, Luce Buchheit nous entraîne dans un voyage sans retour, celui du monde infini, visible ou invisible." S. Dabadie